J’adore la discipline de la création de couvertures de livres. C’est comme danser sur la tête d’une épingle, tellement qu’il faut réconcilier les contraintes. Bien sûr, il faut que la couverture existe sur les rayons — en boutique, mais aussi une fois que le livre est chez le lecteur — donc attirer l’attention, mais d’une manière subtile, en utilisant à la fois des références du genre et des références qui vont parler à ces lecteurs potentiels. En continuation de cela, il faut que la couverture illustre ou évoque le contenu d’une manière que le lecteur est apte à comprendre. Mais une bonne couverture va plus loin, ce n’est pas simplement de l’illustration, il faut aussi traiter du sujet du livre, le style ou le sujet. Cela devient un dialogue entre la couverture, le livre et le lecteur. Un excellent exercice…